Paul Eluard est en effet un poète français célèbre de la moitié du XXe siècle, qui est né le 14 Décembre 1895 à Saint Denis, il avait un père qui était comptable, et d’une mère qui était couturière. Paul Eluard est connu sur le pseudo de Didier Desroches et Brun. A l’époque, le poète devrait arrêter ses études pour suivre un soin spécifique d’une tuberculose en Suisse. Durant la Première Guerre mondiale, il a été témoin des véritables hécatombes, où il exprimait l’horreur de la guerre. De ce fait, il devient ensuite l’un des symboles emblématiques français du mouvement surréaliste, car il propose ses œuvres célèbres (roman, citation, poème, littérature…) avec amour et une certaine force révolutionnaire (tout en renouvelant le langage poétique). Par conséquent, Paul Eluard adhère au dadaïsme et devient par conséquent l’un des sommets du surréalisme, dont ses œuvres s’orientent sur une action artistique.
Capitale de la douleur (1926)
Capitale de la douleur était principalement le tout premier recueil du poète Paul Eluard, qui a été paru en 1926. Cet extrait de littérature représente de nombreux poèmes, dans lesquels, plus de la moitié de ces poèmes ont été déjà diffusés dans de certaines plaquettes antérieures. En effet, c’est « L’art d’être malheureux » est le titre original, qui a été prévu pour ce recueil, mais il s’est fut changé soudainement au dernier moment. Le titre « Capitale de la douleur » a été choisi pour la raison que son appellation est juste poétique. Le mot « capitale » dans le titre n’est rien d’autre que le Paris, car c’est le lieu où le poète réside et vit probablement avec son épouse Gala (le cœur du leur royaume, ses passions, le fait tant souffrir). En effet, ce titre mystérieux permet de ressortir l’alternatif de la douleur et de la souffrance, et en soit un mystère. Toutefois, ce titre ne ferait pas l’objet de masquer les cris de confusion, mais qui permet d’éclaircir chaque chemin et de conduire le titre sur les poésies de bonheur amoureux. En réalité, les jours sont en effet mélancoliques, dont il pourrait y avoir des jours de bonheur, de pluie, de malchance, ou des miroirs brisés… Du coup, le poète Paul Eluard ne se centralise pas face à une adversité, mais il dissipera certainement la « brume de fond », où l’achèvement de cet extrait est réellement pessimiste. Ce recueil qui a été écrit par le poète Eluard s’était bien exprimé à de nombreux index. Et puis, Gala a quitté le poète et a rencontré un certain Salvador Dali, qui est un peintre.
Pour mieux comprendre les œuvres littéraires du Paul Eluard, veuillez consulter : litte-ratures.fr
L’amour de la poésie (1929)
Le recueil « l’amour de la poésie » a été édité sous le même domaine que « Capitale de la douleur », dans une certaine collection Gallimard/poésie. En effet, ce recueil représente de ce fait quelques poèmes, qui ont été édités par le poète Eluard, et comportant un certain poème « La terre est bleue ». Ainsi, ce recueil parle d’une aventure d’un homme déterminé, qui est désespérément déchiré pour le choix entre la poésie et l’amour, si c’est imaginaire ou vraiment réel. Du coup, la poésie offre à cet homme le goût, l’amour et la passion de la vie.
Poésie et vérité (1942)
Engagé dans la résistance, le poète français célèbre s’est intégré au véritable mouvement pendant la guerre, entraînant par conséquent la poésie française et ainsi que le poème Liberté. Ce recueil poésie et vérité est en effet l’une des œuvres littéraires du Paul Eluard paru en 1942. A cette époque, il a adhéré au parti communiste, comme Aragon, faisant l’objet d’une lutte contre le fascisme. Et d’une manière générale, les textes structurants, ce recueil « Poésie et Vérité » concerne entièrement des poèmes de lutte. Ce recueil est mémorisé dans la tête des combattants de cette époque, car ils ont soutenu l’espérance de la victoire pendant la période de guerre. Et à cette époque, le poème Liberté a été parachuté dans les maquis, comme les gens faisaient pour les armes et pour les munitions.
Liberté (1942)
La « Liberté » est un poème écrit par Paul Eluard en 1942. Ce poème est comme un chemin vers la liberté pendant la Seconde Guerre mondiale, face à l’occupation allemande. Il s’agit en effet d’une certaine liste de tous les endroits (imaginaires ou réels), sur lesquels le mot « liberté » a été écrit par l’auteur. Le titre original de ce poème est « Une seule pensée » à la revue Fontaine (qui a été diffusée dans la zone sud), mais a été aussi modifié soudainement. Ce recueil a été ensuite réécrit en janvier 1943 en Suisse, et puis publié en 1945 par les éditions GLM. La poésie et vérité a été donc insérée dans le Rendez-vous allemand. Le recueil est donc structuré de 21 quatrains sur une constitution commune (3 heptasyllabes, 1 tétrasyllabe et pas de rimes).